Shirley Johnson, sang-froid |Admin|

THE MURMURE : PRESENTATION

~ Nom ~ Johnson
~ Prénom ~ Shirley
~ Âge ~ Seize ans
~ Lieu de naissance ~ Mon accent français te fait fondre, et bien oui je suis née en France, ma mère y a travaillé pendant quatre ans, assez pour que je connaisse les mots de base, et que j’aime à apprendre mes leçons.
~ Origine ~ Je suis d’origine Américaine, mais je suis née en France.
~ Race ~ Vampirique, bien qu’avant j’étais dans le camp de mon père, celui des sorciers.
~ Années d'études ~ Seconde années au lycée.

~ Pouvoir ~

Télépathie : Je suis plutôt douée pour deviner tes pensées, et même les plus horribles. Ne tentes pas de les cacher, tu utiliserais ton cerveau pour un rien, je suis passée maîtresse dans l’art de découvrir les moindres choses à savoir dans ta tête, autant je peux me faire une image sur ton visage, autant je peux m’en faire une de ton esprit, ainsi mes amis je les connais par cœur, et ainsi je sais très bien choisir les gens de confiance, et j’avoue ces gens là sont des aiguilles dans une botte de foin.
Voyance : Je serais capable de savoir ce que te réserves l’avenir, autant par tes propres décisions, que par le chemin déjà tracé pour toi, ainsi je peux savoir facilement qui sera ta véritable moitié, le nom de tes enfants, où quand mourras-tu, et par quoi.. Sympathiquement, sympathique pas vrais ? Oui, moi aussi j’adore ce don-là, bien que j’ai quelques difficultés à l’utiliser sur commande..

~ Histoire ~

Et le commencement des paris arriva. Tous dans la petite salle d’attente criaient des mots, souvent les deux mêmes. « Moi, je vous dis ce sera un garçon, vous avez vu ses coups de pied ? » ou « Tu rigoles, ce sera une véritable ballerine ! C’était de la grâce, pas un coup de pied ! » Bref, tous pensaient que c’était leur idée qui triompherait ! Et c’est ainsi que commença les paris, ça n’allait pas plus haut que les cinquante dollars du moins, pour l’instant. La seule personne qui restait assez, voir même trop calme, dans la pièce était ce petit bout de chou d’à peine deux ans. Il fixait les adultes de la pièce avec dégoût, mais dès que sa tête pivotait vers le couloir, où sa mère poussait des cris, son visage devenait pâle, livide. Il ne devait pas trop aimer entendre sa mère souffrir, et voir des gens tout autour de lui rire, et affirmer que leur idée était bien meilleure. Comment ne pas le comprendre ? Il semblait si jeune, et forcément si vulnérable, que se mettre à sa place devait être horrible, un véritable calvaire. Le voir s’endormir était bon à voir, quand il dormait tout les problèmes disparaissaient dans son sommeil. Malheureusement le petit bout de chou fût réveillé par des cris de joie poussés par son père qui sortait tout juste de la pièce où quelques heures plutôt sa mère hurlait à la mort. Son père affichait un sourire triomphant, et se tourna vers son jeune garçon, il lui ébouriffa les cheveux et lui dit qu’il avait des à présent une petite sœur, et qu’il devait veiller sur elle. C’est seulement à ce moment là que le petit bonhomme se mit à sourire, d’un sourire éclatant de jeunesse et de bonheur, il se releva et courra en direction de la salle d’opération, son père lui courant après. C’est ainsi que moi tranquille comme tout dans les bras de ma mère, j’entendais le cœur de ma tendre mère, mais également des exclamations bruyantes de ce garçon. Il tentait tout le temps de me toucher, et de m’embrasser. J’en conclu qu’il devait être mon frère d’après son expression de protecteur.

Grandir fût moins dure que je ne le pensais. J’étais très souvent dans les bras de l’un, ou de l’autre de mes parents. Mon grand-frère montant la garde dans ma chambre, et la sienne également. Par contre le soir, quand je pleurais pour manger, ou que ma couche était mouillée, il se mettait à me fixer d’un regard mauvais, comme ci son sommeil était plus important que mon bien être, mais bien sur. Je crois que je commençais vraiment à faire mes nuits le jour où mon frère avait eu des marques violettes sous les yeux, des cernes je crois. Je le réveillais trop, et il était fatigué. J’avais été une vilaine sœur à cet âge. Mais je me ressaisis bien assez vite, ainsi je passais mes cinq ans sans encombre, et entrais à mes six ans dans l’école des grands. J’étais la chouchoute des géant, aussi bien professeur, qu’élève. Il faut dire que déjà à cette âge, je savais compter, et connaissais l’alphabet, ainsi que la lecture. Maman disait souvent que j’étais une enfant précoce, et j’adorais le fait qu’on me prenne pour une surdouée, les adultes, alors, me faisait beaucoup plus confiance qu’aux autres élève, et les grand du cm2 adoraient ma compagnie. Enfin, au finale je passais une classe, papa m’avait dit que c’était pour mon bien, que dans l’autre classe je ne pouvais rien apprendre de mieux, j’avais accepté sans broncher, même si mes amis me manquaient. Ce ne fût qu’à mes neuf ans, ou j’entrais au cm2 moi même, que j’appris une chose très étrange de moi, par mon père.

Je devais faire mes devoirs, mais je crois que je bûchais sur une division en mathématique, je ne comprenais pas où il fallait finir, j’avais alors demandé à papa de m’aider, il avait alors entreprit de me poser des questions, mais quand j’entendis que je comprenais déjà tout, je lui répondis que non, je ne comprenais pas tout, surtout les divisions. Et alors, je crois que mon père ce soir là, m’avait avoué que j’avais un pouvoir magique, transmit de génération à génération. Maman, et Ever ne devait pas être dans la confidence, c’était ce que papa m’avait dit, j’avais alors refusé violemment d’évincer mon frère, et papa avait accepté. Ce soir là, mon frère s’amusa à faire mon premier entraînement : Répond à mes questions muettes. Chacune des questions qu’il pensait j’y répondais, et petit à petit j’arrivais à maîtriser ce don. J’étais heureuse, et papa aimait beaucoup mes progrès. Je me demandais encore pourquoi Ever lui n’en avait pas de pouvoir, c’est ainsi que papa m’expliqua que Ever avait hérité de maman, et moi de lui. J’étais triste pour lui, et ce jour-là je m’étais promis de ne pas la narguer avec mes pouvoirs magiques. Seulement je n’avais pas considéré que j’aurais pu avoir un jour un autre don que celui de télépathie.

Ainsi me vînt la divination, ou la voyance, le jour de ma mort. Je venais de fêter mon anniversaire une semaine auparavant, et je venais d’entrer dans mes seize ans. Je m’ennuyais fermement ce soir-là, et j’avais décidé de réveiller ce gros dormeur de Ever pour faire une balade au clair de lune, au départ il avait été contre, mais au final j’avais réussi à le persuader, j’aurais aimé ne jamais avoir cette idée, mais malheureusement j’avais été insouciante du reste du monde ce jour-là. Bref, lui et moi avions décidé d’aller vagabonder vers la forêt, et le lac. C’était la pleine lune, il devait être fabuleux, c’était je crois ainsi que j’avais forcé la main à mon frère. Mais au moment où nous nous en approchions, j’eu un étrange frisson, et mes yeux –selon mon frère- devinrent aussi brillant que le diamant, aussi brillant que la lune. Ce soir-là j’avais vu une scène, j’étais là avec mon frère, ce dernier était au sol et criait d’arrêter le feu, moi je tentais de le protéger face à un homme aussi beau que dans un rêve, seulement je n’avais pas calculé qu’il me voulait aussi, et je fus très vite assaillis par ses crocs. Je me réveillais alors de mon demi-sommeil, et criais à mon frère de partir, de fuir loin, qu’il y avait un danger ici, malheureusement, j’entendais déjà les pensées se rapprocher, et arrêter ma course ainsi que celle de mon frère. Comme dans ma vision, Ever fût le premier à passer, et j’entendais ses cris d’agonie. Je savais que j’étais la suivante, la prochaine à crier au feu.. Je me sentais en effet attirée dans les bras de ce monstre, je sentais ses crocs pénétrer la peau de mon cou, je le sentais aspirer mon sang, mon énergie.. Je me sentais sombrer dans le noir, il n’arrêtera jamais, c’était un démon..

Je me réveillais dans une chambre élégamment décorée, et me sentais étrange, comme surpuissante, et je sentais ma gorge me brûler de l’intérieur, et de toute la maison j’entendais les moindres bruits. Ma vision aussi avait changé, mon odorat également, je compris alors que j’étais devenue comme ce monstre, un vampire, tel les légendes.. A mes côtés je sentais une présence, celle d'Ever, je me retournais et lui adressai un pâle sourire, quel idée de vouloir sortir dehors ce jour-là, j’enfouissais ma tête dans mes jambes et tentais de pleurer, mais rien ne vînt.. Je semblais sans émotions, c’était horrible. Quelques temps après, nous fûmes entraînés par notre créateur, et quand mon frère fût assez fort, il le tua sans aucune compassion, sous mes yeux d’ailleurs.. Ce jour-là, j’avais senti les ennuis. Mais depuis, Ever et moi étions devenus des gens important, étant donné mes capacités étranges, et les nouvelles de Ev'. Mon agilité au combat, et la vitesse de mon frère nous rendait presque invincible.

J’étais très souvent tentée, voir même largement plus que mon frère de tuer des Hommes, seulement je me le refusais, je n’étais pas un monstre, et je me nourrissais d’animaux en tout genre, quand à Ever il préférait la viande pure, pas la salade.

~ Caractère ~

Je suis plutôt de nature amusante, et joyeuse. J’aime la joie, j’aime la vie, et j’adore tout ce qui se rapporte aux sourires. Alors imaginez-moi devant une ribambelle d’enfant qui sourient, et bah je suis totalement dans mon élément. Je suis une spécialiste du rire et j’adore faire sourire les gens, ça fait tellement plaisir de voir qu’on peut en quelques secondes redonner la joie de vivre aux gens.. On me considère assez souvent comme la fée du rire, j’ai toujours une bonne humeur, et un beau sourire sur mon visage. Je suis là dessus assez ressemblante à ma tendre et aimante maman. Elle aussi aimait vivre, et respirer la joie des autres, malheureusement depuis ma disparition et celle de Matthieu, quand je viens lui rendre visite discrètement, je ne la vois que toujours triste, et en larme.. Je sais, on lui fait beaucoup de chagrin, mais c’est la lois des vampires se tairent. Bref, je suis toujours là pour les gens. On me dit souvent que même mes gestes, et ma démarche respire la joie de vivre, et la grâce que je dois à ma transformation vampirique.

~ Sociale ~

Je suis assez sociable, pour ne pas dire trop. La plus part des gens jugent sur l’apparence, et mon accepté facilement par mon physique. Le reste a été conquis par ma joie de vivre, ma maturité, et ma confiance. Je peux donc dire sans remord, que je n’ai pas d’ennemi, mais juste des amis, et des tas. Je connais chaque prénom des personnes de mon lycée, autant professeurs, qu’élèves, ou encore employés. J’apprécie tout le monde et je le fais savoir. Bon je dois avouer que je n’apprécie pas spécialement la meilleure amie de mon frère mais bon.. Il y a mes parents que j’adore plus que tout, assez pour ne pas leur faire passer le calvaire d’une transformation vampirique, et donc de ne pas leur dire notre secret. Mon frère que j’aime plus que tout, voir même trop quelquefois.. Il y a aussi Aaron que je connais de vue au lycée, je sais que je l’apprécie beaucoup. Enfin il ne me connaît pas et théoriquement moi aussi, seulement j’ai vu que dans une vision il devenait un ami, alors je fais avec.

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